samedi 6 mai 2017

J’existe, donc je m’aime. Je m’aime, donc tout me réussit.



Car oui, il n’y a qu’une seule et unique manière de faire en sorte à ce que les choses nous réussissent, c’est de  s’aimer assez pour autoriser cela.

Assertion gratuite ? D’un point de vue scientifique peut-être, et encore (de plus en plus d’études scientifiques confirment ce lien de cause à effet). Mais la science n’a pas sa place lorsqu'il est question du processus de la Nature, et des Lois mathématiques de la Vie. La science n'a pas sa place dans ce qui relève du bon sens.

Et le bon sens pourtant veut que lorsque l’on accepte d’exister pour de vrai, on finit par s’aimer. Et lorsque l’on s’aime, toutes les vannes du bonheur s’ouvrent. 
Etre heureux c’est simplement prendre du plaisir dans chaque petite chose et situation de la vie, quelles que soient les circonstances. Et lorsque tout ce que l’on voit et l’on vit nous semble beau et important, c’est le début d’étape de la reconnaissance. 
Et la reconnaissance, nous l’avons dit dans un précédent billet, déclenche une reprogrammation neuronale qui exécute dans notre intérieur, un processus de réussite.


Crédit image: http://www.thinkstockphotos.fr/image/illustration-the-nearly-man/495009977

Dans les détails, si cela est encore nécessaire, cela donne ceci.

Exister : c’est se positionner sur le marché de la Vie.

Partant de ce processus naturel de la Vie, toute chose existant sur terre est assignée à une mission spécifique. Moralité : rien ni personne n’est inutile, de la vilaine araignée dans le placard aux hideux crocodiles en passant par la jalouse de service qui voit tout et tout le monde en noir.
Cette Loi de l’Existence exige de nous que nous trouvions notre place dans ce microcosme universel. 

Lorsqu’une Compagnie sort un produit, c’est que ce dernier est appelé à se positionner. Car un produit qui n’existe pas sur le marché, n’existe pas tout court. Peut importe sa beauté, son utilité ou son coût. Or chacun de nous est un produit de la Nature. Pour exister, nous devons donc nous positionner sur le marché de la Vie.

Dans certains cours de développement personnel, ce processus commencerait avec l’étape : « trouver son identité ».
Les formations en développement personnel seraient plus intéressantes à mon avis, si elles limitaient leurs expressions et procédés trop conceptuels pour être clairs et concis. Globalement, "trouver son identité" consiste à savoir qui l’on est, savoir se décrire et se positionner par rapport à notre genre, notre famille, notre histoire, notre contexte actuel, notre environnement, nos ambitions, et bla bla bla.

S’aimer : c’est s’autoriser à se choyer, à être libre, admirable…et respectable.

Tant qu’à exister, il vaut mieux le faire bien. Ceci implique d’exister avec chaque cellule de notre être, avec chacune de nos particularités, bonnes ou mauvaises. En décidant d’exister, on apprend donc à s’accepter, à s’aimer.

S’aimer : verbe étrange interprété à toutes les sauces mais qui est une activité de soin et d‘attention portée à soi, que personne d’autre -à part nos douces Mamans-, ne fera mieux que nous-mêmes. Autant le faire bien aussi.

·         L’équation de l’Amour propre.

Il se passe cette chose de grandiose lorsque l’on s’aime : ce processus magique et automatique de connaissance, de respect, de confiance et d’estime de soi.
On apprend à savoir d’où l’on vient, où l’on souhaite aller, avec qui, de quelle manière, à quel rythme et comment. On s’intéresse à ce que l’on veut vraiment, à ce que l’on aime moins, aux choses qui nous correspondent, aux projets dont on rêve, etc.

Quand on s’aime assez, on finit par éviter naturellement toute personne et situation préjudiciable à notre bien -être. Cela est instinctif, incontrôlable. 
On s’entoure de personnes qui, elles aussi, nous aiment et nous permettent, par leurs gestes, leurs regards, leurs mots, de nous aimer encore plus !

La correspondance mathématique la plus proche de cette situation est, je crois, une combinaison simple de + et de x équationnée comme suit.
=> (Ma façon de me voir + ma façon de prendre soin de moi) X (ta respectueuse et aimante compagnie) = Le développement de mon amour propre.
=> Le développement de mon amour propre  => ma direction naturelle vers des personnes et des situations qui me sont bénéfiques = > Encore plus d’amour propre.

NB : réflexion passagère : il doit manquer cruellement d’amour propre à Madagascar car si cela était le cas, la majorité des politiciens de ce pays auraient finis chômeurs, sous un pont, derrière des barreaux ou dans un zoo pour espèces mentalement dérangées.

Crédit image : https://fr.depositphotos.com/115320014/stock-illustration-american-liberty-statue-caricature-independence.html

·         L’amour propre : l’indépendance suprême.

Lorsque l’on s’aime, arrive un autre merveilleux phénomène : celui de l’indépendance. Ou plutôt  de l’autonomie. De toutes les formes d'indépendances/autonomie que l’on connaît, l’amour de soi est la plus libératrice, la plus durable et surtout la plus productive et authentique.
Car lorsque je m’aime, je me sens bien avec moi-même, en accord avec mes pensées et actions. Et mon regard me suffit.  
Lorsque l’on s’aime, cela se sent, cela se voit, cela s’entend, cela se perçoit. Et surtout, cela s’apprécie. Car l’amour-propre a cette magie de nous donner cette contenance, ce charisme, cette confiance en nous qui rend plus attractif, plus admirable.
Globalement, une personne qui s’aime comble son propre vide intérieur. Elle n’a donc plus besoin d’en faire une tonne pour embellir son extérieur. Pavaner auprès de la masse pour attirer de l’attention, quémander de l’affection, éprouver envie et jalousie deviennent inutiles, car la personne estime assez ce qu’elle a et ce qu’elle est.
Et lorsque l’on s’aime, on se respecte forcément. Lorsque l’on se respecte, on ne fait plus que des choses respectables.

Par ailleurs, dans le respect du processus de la Nature et des lois mathématiques de la Vie, lorsque l’on s’aime, notre machine intérieure nous met automatiquement à la place ou l’on doit être. Cela déclenche ce que les anglo-saxon décrivent comme « l’abondance » et qui n’est autre que ce fameux succès.

Car nous sommes conçus pour nous aimer, pour nous apprécier. Tant que nous ne respectons pas ces processus que la Nature, nous sommes en décalage car nos pièces  maîtresses ne sont pas à leur place. Et tant que nos pièces ne se trouvent pas au bon endroit du puzzle, les jeux ne sont pas faits. Les dents des engrenages ne concordent pas. La machine de démarre pas. C’est tout.

Quand tout est en place en revanche, les choses s’emboîtent d’elles-mêmes et entraînent avec elles ce lot de situations exceptionnelles et magiques que nous somme tous appelés à connaître.

Conclusion :

1- J’existe, et c’est tant mieux.
ð  Comme je me suis montrée à moi-même, comme je dois composer avec ce que je vois et avec ce que je suis pour environ toute ma vie, je préfère apprendre à aimer ce que je vois de moi, ce que je suis.

2- Je m’aime. Et c’est formidable.
Parce que toutes ces choses que j’ai toujours fais pour l’autre lorsque je tombe amoureux(se), je finis par le faire pour moi !
ð  Mon intérêt, mon temps, mon énergie, ma gentillesse, mon attention, ma dévotion, etc. sont enfin dirigés vers moi.

3- Tout me réussit.
Parce que comme je m’aime et me respectent, les autres le font aussi.
Parce que comme je m’aime et me respecte, la Vie m’aime et me respecte aussi.
Parce que comme je m’aime et me respecte, toutes mes pièces intérieures et extérieures s’emboîtent avec celles de l’univers.
Elles tournent en mouvement ascendant et ma vie suit le mouvement. ©


Si vous avez besoin d'un accompagnement personnel ou professionnel pour atteindre des objectifs précis de vie ou de productivité, contactez-moi.
Au plaisir de cet échange !

Cornélia A.R.
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