samedi 29 avril 2017

Solution en cas de coup dur : retroussez vos manches et reconstruisez immédiatement.

Solution en cas de coup dur : retroussez vos manches et reconstruisez immédiatement.

Le temps de nos tempêtes de vie, le processus de la Nature  nous autorise, voire nous recommande  de nous laisser aller. Car il est vital, à ces moments, de laisser le processus d’évacuation émotionnelle se faire.
Ceci, pour nous permettre de nous centrer sur nous-mêmes durant la crise, pour « nettoyer »  notre esprit, notre  cœur et parfois notre  âme des ces énergies négatives. Modifier ou retenir ces énergies négatives est non seulement absurde et contre productif, mais également destructeur pour nous. Cette étape est donc salutaire, utile, réparatrice.

Crédit image.


Mais dépasser la période naturellement prévue pour cette étape mène à un processus inverse, contreproductif et dangereux pour notre évolution. Ce qui à l’origine devait être une période nécessaire de recentrage sain et positif, se transforme en complaisance malsaine d’auto flagellation consciente ou pas. Au lieu de laisser la plaie se refermer naturellement, les plaintes et la victimisation permanente, « entretiennent » l’ouverture de la plaie qui finit par s’infecter à force de rester ouverte. Plus cette tendance auto destructrice s’étale sur la durée, plus grands sont les risques d’aggravation.

Il y a donc, comme le disait le Sage Salomon, une période pour tout. Une pour pleurer, une autre pour sécher ses larmes, retrousser ses manches et se mettre à reconstruire.

Et plus tôt cette période de reconstruction se fait, plus grandes sont les chances de succès. Pourquoi ? Parce que la Vie (la Nature) est faite de cycles. Une succession de cycles qui se suivent et se succèdent. Et dans ces successions de cycles se trouvent également des successions d’énergies différentes, positives et négatives.

Ces énergies connaissent des fourchettes de pic ascendant en fonction des circonstances, avant de retomber au plus bas. Et la période idéale pour avancer est précisément lorsque ces énergies se trouvent dans la tranche supérieure. Lorsque ces énergies retombent,  la construction n’est pas impossible, mais simplement plus longue et plus difficile car il faut trouver le moyen de faire remonter ces énergies.

Ces pics d’énergie ne se retrouvent pas dans la tranche supérieure uniquement lorsque nous sommes en forme. Inutile donc d’attendre d’être très heureux pour se remettre à construire. Une grande peine, une grande frustration, une grande colère, etc. sont aussi favorables à une montée d’énergie qu’une grande joie.
C’est d’ailleurs durant ces moments de grand « chocs émotionnels » que se couvent les plus grandes résolutions inconscientes ou conscientes de construction. Comme c’est pendant les grands moments d’abus que se fomentent les grandes révolutions (normalement).

Vous êtes ainsi votre propre Ché Guevara, votre propre architecte de vie, ou votre propre héros, selon votre tempérament et ce qui résonne le mieux à vos oreilles. Mais c’est bien vous, et vous seul(e) qui tenez la barre de votre existence, et vous seul(e) encore qui savez (sentez) quand la houle peut être affrontée ou non.

Et si vous savez regarder les moments de difficultés comme de super tremplins pour atteindre de plus hautes destinations, et non comme des « échecs », si vous savez voir les grands vagues de la vie qui nous emportent comme de belles vagues sur lesquelles surfer, alors non seulement vous vous sauvez de la noyade, mais en plus vous avez l’extrême luxe de sauter encore et toujours plus loin et plus haut.

Bonnes vagues ! ©


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vendredi 28 avril 2017

Allez jusqu’au bout du possible. Si vous l’avez pensé c’est que cela en vaut la peine

Allez jusqu’au bout du possible. Si vous l’avez pensé c’est que cela en vaut la peine


J’avais présenté à des concours de start-ups il y a quelques années, un concept innovant de gadget d’autodéfense. Oui, je parle bien d’un gadget d’autodéfense, car ce fût bien là, l’utilité de ce super projet que je voulus développer de toute la force de mon énergie, en y croyant de tout mon être et en y mobilisant à peu près l’essentiel de ma vie.

J’ai gagné un de ces concours de manière honorifique. Ce n’est déjà pas si mal. Mais je n'eû pas les financements que j’en attendais pour faire démarrer le projet. A l’époque, comme beaucoup, je pensais fermement que seuls des financements et des fonds permettraient de donner vie à cet hyper gadget avant-gardiste basé sur l’émission d’ondes électromagnétique (oui, rien que cela J).


Crédit image : http://dory.fr/coloriages/vie-quotidienne/jouets/757-raquette-et-balle-tennis

Comme une majorité de jeunes porteurs de projets, j’ai misé sur les ressources extérieures, matérielles, financières, humaines… en sous estimant ce qui, à l’intérieur de moi aurait pu faire la différence. Cela me fut préjudiciable. Cela arrive aussi à tous les autres qui pensent « vouloir » en continuant d’espérer et de compter (trop assidument) sur des facteurs extérieurs. Au premier test de la Vie concernant le projet, j’ai décroché.

Depuis, ce projet dont je croyais avec l’arrogance des débutants, être unique, spécial (il le fût vraiment), a été lancé sous d’autres formes par d’autres personnes dans d’autres contrées avec d’autres ressources.

J’ai réellement perdu. Non parce que mon projet a finalement vu le jour, valorisé par d’autres initiatives. Car étant doté d’un cerveau à peu près fonctionnel, je pourrais si je le voulais, le reprendre et y apporter une touche novatrice, personnelle. En fait, j’ai réellement perdu car dans le fond, je ne me suis pas suffisamment accrochée. J’ai sur estimé mes capacités en me faisant de la réussite de ce projet, une vision un peu (trop) romantique. Et, paradoxalement, je me suis énormément sous estimée aussi. Car sur ce coup là, un vrai guerrier aurait touché, tourné, retourné, fracassé puis recollé, puis re-fracasser le projet pour le recoller d’une manière différente, jusqu’à trouver la manière de le lancer par les moyens les plus modestes, en maintenant une grande vision.

Je n’ai pas de regrets car j’apprends chaque jour de mes erreurs. 

Ma grande victoire tirée de cette expérience est double.
D’abords, le projet n’est pas si perdu que cela car les utilités existantes restent encore un peu éloignées de mon propre concept initial. Et puis, quand le cœur m’en dira, je rependrais peut-être ce projet, et cette fois pour de bon, en balançant plus justement mes attentes de ressources extérieures Vs intérieures.
Mais surtout, la grande leçon à tirer –et à partager tellement les cas d’abandon sont nombreux- est :

"Lorsque vous avez un projet en tête : peut importe son état d’avancement, peut importe s’il doit rester au stade d’idée pendant plus de temps que prévu, peut importe les moyens existants ou inexistants, peut importe les pseudo associés et leurs pseudo capacités techniques… peut importe le temps que cela prendra pour le faire mûrir… FAITES LE ! MENEZ LE A BOUT !"

Et souvenez-vous que si (et parce que) vous l’avez pensé, si (et parce que) vous avez mobilisé du temps, de l’énergie et des moyens à en discuter avec d’autres,  c’est que CELA EN VAUT LA PEINE. C’est parce que, à un moment de vos réflexions, observations, vous avez compris que cela répondait à des besoins. C‘est parce que, dans l’univers, ce produit ou projet était destiné à réellement exister.

Et surtout, il y a ce que j’appelle les Lois Mathématiques de la Vie, qui sont en fait l’expression d’une Nature en mouvement. Y croire ou ne pas y croire ne change rien au fait que ces Lois sont en action permanente, comme la Nature est elle-même en mouvement permanent. Ces Lois Mathématiques de la Vie et de la Nature font que ce qui sort, finit toujours par atterrir quelque part.
Ce que vous donnez, vous revient, certes. Mais sur le moment, ce que vous émettez doit bien aboutir quelque part dans l’Univers. Et, en dessinant, en concevant et en parlant de vos projets, vous en émettez des vibrations dans l’espace, le cosmos, l’univers, peut importe le nom que vous lui attribuerez.  Et si vous n’en êtes pas le capteur direct (ce qui logiquement devrait être le cas mais la nature est faite de bon sens et non de logique), et bien d’autres personnes, dans d’autres endroits du globe, le capteront pour vous. Un peu comme si vous lanciez votre balle de tennis contre un mur , mais parce que vous avez passé trop de temps à calculer les angles, la puissance et la fréquence des rebondis, une autre personne la réceptionne pour vous… et s’en va avec « votre » balle.

Ainsi va le processus de la Vie.  Il est, comme les ions, en permanent petits mouvements rapides. Vous pouvez attendre qu’ils se stabilisent (lorsqu’il ne restera plus d’énergie pour les dynamiser). Ou vous pouvez simplement apprendre à anticiper, agir plus vite, comprendre et suivre les rythmes comme un torero sur son taureau jusqu’à ce qu’il l’ai enfin maîtrisé. Mais encore une fois, si le projet vous tient assez à cœur pour y avoir mobilisé l’essentiel de votre vie, autant aller jusqu’au bout des efforts.

Car, c’est certain, cela en vaut la peine. ©

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La base de la productivité est le plaisir.

Crédit photo https://www.humour.com/medias/photos/2014/600x404/l-20140613122920.jpg 
La base de la productivité est le plaisir.

C’est un fait. Et même si la majorité considère cela comme absurde, je dis moi, que cela relève du bon sens le plus basique.

Car si vous commencez la semaine en espérant que Vendredi arrive vite, c'est qu'il y a un problème. Et pas que pour vous.

En effet, comment expliquer qu’une personne :
-          agressée en plein sommeil par un réveil matinal violent aux allures de torture (sauf si le réveil est fait de plein gré),
-          poussée au summum du stress par :
o    une toilette et un petit déjeuner sans plaisir (alors qu’il s‘agit quand même d’un moment supposé de plaisir et d’entretien de soi),
o    une course poursuite contre les embouteillages, les transports en tous genres et les aiguilles de la montre ;
-         et  
      * arrivée à son bureau avec une tête encore en pleine transition entre nuit et matin ,
-       *   à faire sans plaisir des tâches qui à 80% sont éloignées de ses rêves de vie,
-       * à subir des heures inutiles en réunion, entourée de personnes toutes désireuses de faire du vent pour se faire voir,
-       *   qui déjeune sans plaisir et travaille sans étincelle
      
      puisse être capable de la moindre productivité ? De toutes les absurdités imaginées par l’homme, celle là est la plus insensée, après le mariage et l’argent.

Travailler dans ces conditions –et cela concerne une grande majorité de personnes dans le monde- mène forcément très vite:
-          
        > au manque de sommeil : alors que le sommeil est nécessaire pour notre équilibre hormonal, pour notre maturation cérébrale, pour le développement de nos facultés cognitives, etc. Résultat : on se retrouve entouré d’une majorité d’imbéciles sollicitant peu leur sens de la réflexion, et de frustrés hystériques dés- ou trop-hormonés.
-          
       > aux problèmes de santé physique : pour les raisons évoquées plus haut, ajoutées aux effets de repas non sains ou équilibrés, engloutis en sprint pour les besoins de l’horloge. Sans parler des presque 8 à 12 heures quotidiennes passées en position de chaise ou de fauteuil, ce qui à priori n’est pas une position prévue durablement pour l’homme.

-         >  aux problèmes de santé morale : pour une infinité de raisons listées non exhaustivement ci-après :
o    harcèlement moral (si,si !)  réalisé de manière détournée par un employeur ou des dirigeants formés à l’art de presser leurs collaborateurs dans le sourire, avec la claque dans le dos, en appelant cela de l’encouragement,
o    bêtisonitte environnante causée par un entourage aux facultés de discernement souvent limitées par l’envie de plaire plus que les autres au patron, et qui pousse aux actions et aux paroles les plus stupides qu’il ait été donné de voir dans un environnement professionnel,
o    favoritisme démotivant, engendrée par les mêmes personnes citées plus haut. Cela est accentué par ceux en quête d’avancements sans efforts dans des objectifs de gloire sans mérite, avec des dirigeants conscients ou pas, mais idiots malgré tout puisqu’ils se laissent faire,
o    En bas de liste mais résumant globalement les autres raisons citées et non citées, l’incompatibilité tout court avec ce mode d’existence. En passant, l’OMS a cité dans un rapport les raisons psychiques comme principal motif de d’arrêt de travail, et franchement, il y a de quoi.

Crédit image: https://marilenepilon.wordpress.com/2011/08/03/appel-a-lhemisphere-gauche-du-cerveau-la-reflexion-de-jean-martin-aussant/

Par ailleurs, lorsque l’on accomplit une tâche sans plaisir, par obligation, on sollicite l’hémisphère du cerveau axé sur la raison, le devoir (je DOIS travailler pour avoir un salaire qui me permette de prendre soin de ma famille), bref, le cerveau gris. Pas de plaisir ici, juste une succession de faits qui composent une certaine logique.
Lorsque l’on accomplit quelque chose qui naît de notre passion, de notre volonté, pour notre plaisir, c’est l’hémisphère droit, celui des ressentis, de l’intuition, de la créativité, qui est en action. Le cerveau aux couleurs fantaisistes. Ici, cela résonne « liberté, indépendance ».

Et, lorsque l’on parvient à faire d’une chose que nous aimons, qui nous passionne, une activité qui nous permet de vivre et de faire vivre notre famille, les deux hémisphères de notre cerveau s’embrassent et font des étincelles. C’est un coup de foudre permanent, une source constante de plaisir et de satisfaction.

Car le plaisir crée une réaction chimique qui augmente la connexion entre ces deux hémisphères. Le plaisir, comme toute émotion intense, permet de transcender les pires contraintes, incluant celles qui limitent la productivité (contraintes horaires, contraintes de résultats, contraintes financières, etc.). C’est par plaisir qu’une personne peut travailler de son plein gré autant d’heures que nécessaire. C’est par plaisir qu’elle cherchera à assurer le plus de résultats probants possibles. C’est encore pour entretenir son plaisir et son sentiment de satisfaction, qu’elle s’appropriera son travail en y apportant sa touche personnelle, et s'y investira comme si elle avait dessiné ce travail pour elle-même. Et c’est là, le début de la productivité. ©


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Il est bon de prétendre aller bien.

Aujourd'hui les réseaux sociaux sont les déversoirs technologiques de nos états d'âmes divers, qu'ils soient authentiques ou factices.
Et peut importe si la vie réelle ressemble dans les faits à un amoncellement de pierres en ruines, la pression sociale a développé une faculté spécifique: l'art journalistique à découper des séquences d’un seul lot, pour les présenter comme pièces maîtresses d’une nouvelle réalité créée de tous bords. Les réseaux sociaux regorgent de ces séquences désarticulées de vies, présentées comme de véritables moments d’exception. La feinte est bonne, et les impacts en « j’aime » et commentaires, nombreux. La masse a marché, et, le temps de la ruse, l’auteur s’est senti valorisé, apprécié. Il reproduira incessamment et autant que possible cet artifice afin de renouveler à chaque fois ce sentiment d’euphorie ponctuelle.


Parmi les premiers détracteurs de ce mode opératoire, on retrouve les partisans de la vie vraie et authentique, qui ne sont déjà pas les premiers fanatiques de cet étalage public de moments d’intimité, et surtout, qui tombent moins facilement dans le panneau.
A côté, l’on retrouve ceux dont les vies ressemblent aux mêmes ruines que les auteurs de ces arnaques d’images, mais qui eux, ne peuvent pour différentes raisons, afficher de côté sympathique ou amusant de leur existence.

Pour ma part, j’estime que s’il n’est pas très loyal de prétendre être ce que l’on est pas, de prétendre vivre ce que l’on ne vit pas dans la réalité, ou de prétendre posséder ce que l’on ne possède pas dans la vraie vie, il reste malgré tout un fond d’utilité à ces procédés. Car « faire comme si » est bien un des premiers langages que notre cerveau reçoit et décode comme une commande à exécuter. Cet organe aux formes étranges qui occupe notre crâne en effet, ne s’adresse à nous dans aucune langue parlée de la terre. Il s’exprime en effet uniquement en symboles, et n’en comprend donc que mieux, ceux que nous lui adressons.

Je me souviens de ces discours de Laurianne, cette formatrice en psychothérapie qui a éveillé mon appétit déjà latent mais vorace pour l’apprentissage du cerveau et pour le décodage de son fonctionnement. Elle expliquait globalement que c’est en utilisant les bons codes que le cerveau capte les bons messages et exécute les bons travaux. Et affirmait que « faire comme si », alors que dans la réalité rien ne le permettait, était la meilleure manière de faire en sorte à ce que cela se transforme en « pour de vrai ». Elle mit tant de force et de conviction dans ses propos que, en éponge absorbante de toute expérience de vie, j’avais hâte d’en faire moi-même l’étrange mais amusante expérience.

C’est ainsi qu’une fois, alors fraîchement au chômage, je me suis parée de mes vêtements les plus politiquement corrects, pour une simple visite amicale. A ces moments de nos vies où l’énergie est au plus bas, un simple « wow, tu es belle aujourd’hui dis donc ! » a la même puissance dynamisante que le message d’une personne aimée. Pendant toute la durée de la visite, qui a duré quelques heures, je me suis sentie belle, revigorée, importante, utile. Je pense qu’à ces moments là se déclenchent à notre insu, dans notre cerveau, des mécanismes qui nous échappent, mais qui sont bel et bien en action. C’est dans ce sentiment de puissance intérieure, que une heure plus tard, j’ai reçu un appel pour un entretien professionnel, que j’ai presque forcé à se tenir dans la même journée. C’est emprunte de cette énergie que j’ai passé l’entretien, avec la confiance des vainqueurs. Et forcément, lorsque l’on pense en vainqueur, on parle en vainqueur et on gagne en vainqueur. La semaine d’après, je repartais sur mon île-hôtel de luxe de 13 ha aux eaux émeraudes, pour une nouvelle période professionnelle avec de nouveaux dirigeants et de nouvelles conditions salariales. J’en parle ici, car c’est ma première expérience consciente de cet exercice, mais ma vie est cousue de ce type d’essais qui se sont tous transformés en victoires sur moi-même, sur ma situation et sur ma vie.

Et autour de moi, mes proches qui ont en fait l’expérience, avec ou sans moi, ont tous confirmé l’efficacité de ce phénomène étrange.

Je me suis demandée quelle différence il pouvait y avoir entre prétendre pour « épater la galerie » et prétendre afin de « devenir ». Les deux signifient-ils tricher ?  

Je pense que lorsque l’on prétend être, ou devenir, ou posséder quelque chose que nous ne sommes pas, que nous ne possédons pas dans la vie réelle, dans l’objectif de duper, de tromper ou dans tout objectif à fins petites, cela relève bien du subterfuge, du mensonge, de la tricherie. Et dans les faits réels, rien ne change. 
Mais lorsque l’exercice consiste à prétendre afin de vivre mieux, d’être mieux, de s’améliorer ou de se forcer à un certaine amélioration, à atteindre un certain niveau, lorsque l’objectif est bien lié à une élévation personnelle et interne, et non aux regards extérieurs, il s’agit d’un exercice profitable, enrichissant. Et dans les faits, il y a bien une élévation intérieure, une réalisation de soi.

C’est par ce procédé que malgré des diplômes et des profils apparemment incompatibles à certains postes ou fonctions, certaines personnes ont fini par y évoluer avec maîtrise, au même titre, voire parfois mieux, que d'autres personnes qualifiées pour le même poste.

Car si les causes du « faire comme si » sont différentes, les effets le sont aussi. ©


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jeudi 27 avril 2017

La Gratitude

La Gratitude,

Ce sentiment de reconnaissance envers une personne, une divinité, pour ces situations dont on bénéficie, dont on profite, et qui nous ont permis de nous trouver là ou nous en sommes.

Dans mes premiers essais de compréhension de ce processus, j'avais attribué ce principe aux Lois et principes Mathématiques de la Vie. Ce système de la Nature qui fait que ce que lorsque l'on reçoit, on est appelé à partager pour rétablir cet équilibre naturel.

Aujourd'hui, j'ai appris qu'à cela s'ajoute une autre explication, scientifique également, mais de dimension plus neurophysiologique. J'ai compris que lorsque l'on effectue régulièrement cet exercice de Gratitude et de reconnaissance, une réaction chimique se produit dans le cerveau et change progressivement le système neuronal. Cette reprogrammation entraîne petit à petit un nouvel état d'esprit qui lui, permet d'enchaîner de nouvelles habitudes et attitudes axées sur la construction et sur la réussite, avec un certain travail régulier sur soi, bien entendu.

C'est dans cette volonté de mettre en marche ce processus de reprogrammation neuronale que je souhaite ici exprimer ma plus profonde Gratitude à l'Univers, à la Vie et surtout plus que cela, à mon Dieu, celui auquel je crois, pour la faculté de m'être réveillée ce matin, en vie, après une nuit de sommeil paisible et sécurisée. Je souhaite exprimer ma reconnaissance pour l'immense plaisir d'avoir pu toucher, sentir et serrer ma fille dans mes bras, pour la satisfaction et le plaisir d'avoir vu toute ma famille se réveiller un à un, en vie et en bonne santé. Je souhaite également exprimer ma reconnaissance pour ce que j'ai mangé ce matin, qui ne fût ni bon ni mauvais, mais qui fut un petit déjeuner, quand des millions d'autres autour de moi cherchent le quart de cette pitance pour subsister.

C'est aussi dans cette optique je, malgré les petits désagréments et inconvénients -que l'on trouve toujours, surtout quand on les cherche-, que je suis heureuse d'avoir un travail, une utilité économique et sociale, et la possibilité de faire vivre ma famille.

C'est aussi dans cet esprit, que je suis infiniment reconnaissante d'avoir autour de moi ces quelques mais si précieuses personnes, qui m'aident, m'encouragent, me tirent inlassablement vers le haut, m'écoutent, et me motivent, et que j'appelle mes vrais amis.

Tout au cours de la journée, je saurais, pour rétablir cet équilibre de la Nature et initier en moi cette reprogrammation neuronale, trouver d'autres milliers de sujets de reconnaissance, car il y en a tellement, de l'ascenseur qui me facilite la vie, au soleil qui me réchauffe, en passant par le sourire de cet inconnu à mon passage.

Mais un de mes autres plus grands sujets de reconnaissance, est cette conscience éveillée de savoir que je dispose en moi d'absolument tous les éléments nécessaires pour tracer ma propre route à mon propre rythme, et faire correspondre mon histoire au scénario de ce que j'imagine dans mes rêves.

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Crédit image : https://www.suki-book.fr/la-gratitude/
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Découvres ce que tu aimes et ce que tu veux faire de ta vie.

1       Découvres ce que tu aimes et ce que tu veux faire de ta vie.

Dans la vie, il vaut mieux savoir assez vite ce que l’on veut, ce que l’on aime et ce que l’on sait.

Ce que l’on veut est globalement lié à ce que l’on souhaite à sa vie. Ce que l’on aime est par essence toute situation ou chose qui nous met à l’aise et nous apporte satisfaction. Et ce que l’on sait est cette faculté et capacité à réaliser une chose avec grande facilité, souvent mieux que d’autres.

Très peu de personnes apparemment ont la chance de trouver le lien entre ces trois éléments. Si cela m’a longtemps rassuré de savoir que je n’étais pas la seule dans ce cas, cela m’attriste profondément aujourd’hui.
Car pour prendre mon exemple, j’ai mis plus de trente à savoir déjà ce que je voulais, ce que j’aimais et ce que je savais faire. Puis ensuite, ce que j’ai voulu n’était pas forcément ce que j’aimais. Et ce que j’aimais était souvent éloigné de ce que je savais faire. 
Je voulais une vie d’autonomie et de liberté, y compris financière et relationnelle, et je voulais aussi être une fervente pratiquante d’Aïkido et de Kung Fu. Mon autonomie ne commence réellement que maintenant. Et au lieu de l’Aïkido et du Kung Fu, je me suis retrouvée à pratiquer quelque chose que je n’aurais jamais imaginé aimer : le tai Chi. 
Ce que j’aimais se rapprochait alors plus de la rêverie et de la fainéantise partagée avec les amis, les jours de non travail, entre deux clopes et neufs visions très théoriques de refaire le monde et quelques projets rêvés mais jamais correctement structurés. Inutile de te dire que cela ne permet pratiquement jamais d’aboutir à une quelconque autonomie, surtout financière. 
Et quand à ce que je savais -et sais heureusement toujours faire-, j'avais du mal à trouver la moindre utilité à mes facultés que je considérais alors comme inutiles, car sans rapport avec ces choses que je voulais et que j’aimais. Il m’a fallu, je te le disais, plus de trente ans, avant de transformer ce que je savais faire en réelle passion.

Or, il se trouve que dans les règles et Lois mathématiques de la Vie, rien n’arrive par hasard, rien n’est doté ou attribué par hasard, aucune différence n’est inutile, chaque petite chose a une utilité très précise. Chaque petite particule, chaque spécificité, chaque petit ou grand élément constituant de la Vie en général, a une place bien définie dans l’immense microcosme universel qui inclut donc chacun de nous avec nos missions respectives, mais aussi chacune de nos particularités, de nos capacités, de nos facultés et aussi nos petites défaillances. Toutes ces dernières nous ont été attribuées pour une raison très particulière qu’il nous incombe de découvrir tôt ou tard, idéalement, plus tôt que tard.
Si donc tu es l’étrange petit être doté de ta personnalité à toi, avec ton énergie propre, tes envies et tes façons atypiques de faire les choses, c’est pour une raison bien précise, la même que pour tous : servir tes ambitions et/ou ta mission de vie. A toi placer chaque chose dans son endroit du puzzle, et de t’arranger avec cela.
Crédit image http://www.de-la-prairie.info/aumonerielfsj/spip.php?article452

Car s’il y a une chose à comprendre au phénomène du bonheur et de l’épanouissement (le succès n’en constitue qu’une petite partie), c’est qu’il ne se déclenche que lorsque chaque pièce du puzzle est fonctionnelle, et enfin à la place où elle doit être. Et lorsque cela n’est pas encore le cas, la vie, en bonne centrifugeuse, se charge de bien tout mélanger et déstructurer, jusqu’à ce  que petit à petit, chacun des éléments constituant ta fusée de vie, se retrouvent exactement là ou il doit être. Il est inutile, absurde de vouloir caser une pièce non compatible dans une case qui ne lui appartient pas. Cela ne fonctionne pas ainsi. Aucune fusée ne décolle avec des pièces incompatibles. Et ces pièces sont ton authenticité, ta faculté à accepter d’être toi et à accepter que le cours de la vie est fait de bonnes et de mauvaises choses, mais que dans tous les cas, toi, tu y trouveras ton compte.

Ainsi, lorsque tu es finalement toi en surface comme en profondeur, si la personnalité qui est tienne est assumée, si les ambitions et visions qui n’appartiennent qu’à toi sont entretenues, si lorsque tu te retrouves seule tu aimes ce que tu ressens, si tes actions sont en complète adéquation avec ce que tu ressens, et si tes pensées et tes positions te mettent à l’aise, alors c’est que tu es sur le point de décoller.  C’est ainsi que tu peux lancer ta fusée, avec ton inconscient dans le rôle du technicien de contrôle.


Et le compte à rebours commence lorsqu’au fond, tout au fond de toi, tu baisses la garde et acceptes de suivre le parcours qui t’est attribué, celui que quelque part, au fond, tu as toi-même tracé. Et si ma foi, en plus de cela, tu fais en sorte à ce que ce parcours soit utile et améliore la vie d’autrui d’une certaine manière, alors tu pourras considérer que ce n’est déjà pas si mal. 

Extrait de "La route des Sommets est celle du Bon Sens", Cornélia A.R. © 


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Aies envie.

1      Aies envie.

Pour réussir ta vie, il faut déjà que tu en aies envie. Il faut que tu aies envie de quelque chose tout court. C’est la première étape des objectifs. Avoir envie : de grandir, de grossir, de maigrir, de danser, de manger, …, d’exister, de construire, de perpétuer, de transmettre, d’apporter du changement.

Le premier appel à toute réussite est donc l’Envie. Boris Cyrulnik, un des plus grands psychanalystes et psychiatre des temps modernes, parle de la nécessité de manquer de quelque chose pour en savourer l’existence. Le bébé à qui sa mère manque est en mesure de savourer la présence de sa mère après une absence, en constatant que celle-ci a pu sortir de sa vie et donc lui manquer.

Un autre artiste rocker français, dans une très vieille chanson, demandait qu’on « lui donne l’envie d’avoir envie, qu’on allume sa vie ».




Car c’est l’envie qui pousse tout être humain à se rendre et se rapprocher de ces personnes de ces choses, de ces situations qu’il recherche et qui lui permettent de se construire et de se positionner pour une cause, un objectif, une mission.


C’est cette envie qui nous permet de prendre conscience de nos choix, de notre place, de la valeur de ces choses que possédons, et plus encore, de celles que nous ne possédons pas mais que nous souhaitons avoir.

Extrait de "La route des Sommets est celle du Bon Sens", Cornélia A.R. © 

Si la Vie l’emporte sur la mort, elle l’emporte sur tout le reste.

Si la Vie l’emporte sur la mort, elle l’emporte sur tout le reste.

Ceci inclut –et sans que la liste soit exhaustive- les pertes, les défauts physiques ou ceux de l’esprit, les disputes en tout genres, y compris celles qui durent depuis des années, les maladies, les chagrins d’amour, les trahisons des proches, les périodes de chômages, celle de budget au rouge, et toute autre sortes de difficultés que l’on pense (toujours) sur le moment insurmontables.

Rien de cela n’est important à côté du fait d’être en vie et d’avoir autour de soi, les êtres qui nous sont chers, eux-aussi, en vie.




Et si en plus de tout cela, tu es en bonne santé, si tu peux voir le soleil, les fleurs, les nuages, le soleil, les personnes que tu aimes, si tu peux sentir l’effluve du riz en cuisson, les poils de ton chien, la caresse de ta mère, si tu peux entendre la pluie tomber, les musiques que tu aimes et ta mère t’appeler, si tu peux te souvenir des choses que tu as vécues, si tu peux imaginer et dessiner celles que tu souhaites vivre… 
Si tu peux en plus, être entourée de personnes qui t’aiment, qui croient en toi et qui te font confiance…  Alors avant de même envisager de te plaindre, souviens-toi que si tu as la chance d’être en vie, c’est que la vie te réserve des milliers d’autres chances pour faire face à ce qui t’attend, et pour atteindre et vivre tes rêves. © 



Extrait de "Leg à ma Fille", Cornélia A.R  




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Machine de réalisation des rêves : les arbres tardifs donnent les meilleurs fruits.


La Vie nous donne à tous très tôt, tous les éléments et outils nécessaires pour nous permettre d’atteindre les buts que nous nous sommes fixés. Et dès l’instant ou nous ébauchons des rêves d’avenir, même sous forme de simple illusion, certaines machines intérieures peuvent se mettre en route d’elles-mêmes. 


Mais comme tout est en connexion, ces machines doivent, pour tourner et être en phase, avoir d’autres éléments déclencheurs. Un des premiers est l’envie et la rage de faire, le deuxième est la détermination.

Et souvent lorsque l’on souhaite très fort quelque chose, la vie place sur notre route les signes et indices nécessaires pour nous permettre de l’obtenir. Et dans le lot parfois, voire souvent, se trouvent des tests. Si nous ratons le premier en nous laissant fragiliser par la peur, la paresse intellectuelle ou autre chose, si nous abandonnons, c’est que quelque part nous ne souhaitions peut être pas cette chose aussi fort que nous le pensions. 

Etre en retard ou en avance par rapport aux autres ou à ses prévisions, ce n'est pas la question, tant que l'on avance.


Et à ce stade, malheureusement, la majorité décramponne pour choisir la facilité, la simplicité ou la sécurité. En revanche, aux personnes qui ouvrent suffisamment leurs yeux, leurs âmes et leur cœur pour repérer immédiatement tout ce qui arrive comme des étant signes positifs, aux personnes qui s’accrochent à leur vision malgré les tests successifs que la Vie leur fait passer pour vérifier leur degré de ténacité et de motivation, la Vie leur offre des récompenses amplifiées proportionnellement  à l’effort fourni.

Souhaiter une chose, une situation est donc bien. Mais rappelle-toi d’être réellement prête à l’avoir. Rappelle-toi que la route qui te mène vers tes ambitions et tes objectifs suit le même principe que les parcours scolaires. Les objectifs simples prévoient de simples efforts et aussi, de simples récompenses. Comme les sucettes pour les petites sections. A mesure que les enjeux se font plus importants, la complexité des examens suit le même chemin. 

Mais complexe ne veut pas dire impossible. Et si tu l’as décidé une fois, c’est donc que cela en vaut la peine. Rappelle-toi à ces moments là, que les arbres tardifs donnent les meilleurs fruits, et les accouchements difficiles, les plus beaux bébés.


Extrait de "Leg à ma Fille", Cornélia A.R © 


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A vous, à Moi, etc.

A vous, à Moi, etc.

Au noir de mes cheveux égayé par le blanc,
A mon âme essoufflée mais instruite par le temps,
A chacune de mes chutes et chaque nouveau départ,
A chacune des leçons qui jalonnent mon histoire,
A chaque nouveau projet enflammant mon regard,
Je lève mon rêve d’amour !

"De vous à Moi..." ©   retrace en poésie, ces moments de vie intenses que nous traversons tous à un moment. 

L'incertitude, l'angoisse, la séparation ou encore la joie, l'amitié, l'espoir...

Cet ouvrage est un hymne à la Vie, au possible.


Hymne à l'Etoile du Possible

https://www.edilivre.com/catalog/product/view/id/843252/s/de-vous-a-moi-cornelia-andriamasy-r/ Hymne à l'Etoile du Possible!

Etoile du Possible
Toi qui veille sur nous,
Renforce nos âmes sensibles
Quand nous sommes à genoux.

Et quand la nuit arrive
Et que sortent nos démons,
De ta lumière vive
Éclaire notre ascension.

Le jour, ciel étoilé,
De croire est arrivé.
Nous faisons là le pas
Que tu continueras.

Etoile du Possible,
De toi, fidèles disciples,
Nous conjuguons nos plans
Et projets au présent.

En poussant nos limites,
En faisant comme si,
Nous mêlons notre suite
A ta douce euphorie.

Nous possiblerons donc,
Nous ne cesserons pas !
Ton nom comme religion,
Ton hymne à chaque combat.

Nos choix envisagés,
Peu à peu renseignés,
Les rêves qu’on n’ose pas
Prenant forme sous nos doigts,
Comme ces décisions prises
Que rien ne permettait
Où ces vies que l’on vise,
Enfin à nos portées.

Puis revoir, un matin,
Par petits bouts d’essais,
La distance du chemin
Marchée jusqu’au sommet.

Qu’en mode opératoire,
Ce modus vivendi
Raconte notre histoire
Et résume notre vie !

Que lors des grandes questions,
Des traversées épiques,
Douce Etoile, nous ayons,
Ton reflet comme déclic.

Fais dominante la voix
Qui ose et qui avance,
Celle aimantée à toi,
Aimantée à la chance !

Cette voix sourde aux doutes,
Ignorant les Oui mais…
Celle qui guide les routes,
De tous les grands succès. © 



Les jaloux: des écorchés vifs de la vie?

Et alors? Mais tous les écorchés vifs (et il y en a) n'em... pas le monde pour autant!   Que les jaloux aient bâclé ou raté des étapes c...